Il s’agit de considérer l’autoroute comme un ouvrage unique et non plus telle qu’on la conçoit habituellement, comme une succession d’ouvrages disparates. Une seule matière est utilisée, imposée par le concours: le bois. Celui-ci est traité comme une couleur, prétexte a une signalétique globale de l’autoroute. |